Plan de sobriété de la Région – première réunion avec le DGS

Le lundi 14 novembre, les représentant.e.s du personnel ont participé à une réunion organisée par le Directeur général des services, avec différents responsables des services. Cette réunion avait pour objet de manière globale la problématique de l’énergie pour cet hiver 2022-2023.

Il existe plusieurs sujets distincts :

  • La nécessité d’économiser l’énergie dans notre quotidien de travail, à la fois pour contribuer à réduire la consommation nationale d’énergie, et également pour amoindrir le volume des dépenses supplémentaires prévisibles pour la Région.
  • Les coupures qui vont probablement survenir au cours de l’hiver. Elles devraient être annoncées en amont par Enedis, ce qui donnera lieu à des réorganisations des services et du travail, notamment pour les internats et les cuisines qui sont particulièrement concernés sur les horaires annoncés (début de matinée et début de soirée). La Région reviendra vers nous avec des propositions de procédures.
  • Une éventuelle contribution volontariste de la Région au plan de sobriété national. Des fermetures périodiques pourraient être envisagées, mais rien n’est arrêté. Exemple : fermer les sites le vendredi, avec mise en télétravail des collègues et le rassemblement des collègues dont la présence est obligatoire dans une même zone qui serait la seule chauffée.

Pour l’UNSA, nous avons demandé des précisions sur les annonces du Directeur général de service concernant les consignes à respecter pour le chauffage dans les bureaux. En particulier, le message évoquait le retrait des radiateurs individuels. Les représentant.e.s de l’autorité territoriale ont convenu que certains bureaux n’atteindraient pas les températures autorisées sans les appareils individuels, d’ailleurs parfois fournis par la Région pour cette raison. L’engagement a donc été pris de mener cette opération de rationalisation avec discernement.

Un point reste à éclaircir, auquel nous serons vigilant.e.s, est la gestion des absences des agent.e.s qui ne peuvent télétravailler en cas de fermeture. Comme lors du premier confinement, nous considérons qu’il serait injuste que ces absences subies conduisent à un impact sur les RTT.

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